La « skyline » est l’horizon de la ville, la représentation graphique de sa structure multi-dimentionnelle qui met en exergue ses monuments importants et suppose toute l’histoire qu’il représentent.

N’avez-vous jamais eu envie, en un seul regard, d’embrasser la totalité de la ville qui vous accueille ?

C’était la première fois depuis plus de vingts ans que je mettais vraiment le pied à Oradea, que je prenais le temps de m’arrêter, d’y passer du temps.

J’ai eu de la chance dans ma recherche. En arrivant en train dans la préfecture du Bihor, la voie de chemin de fer surplombe légèrement l’agglomération.

J’ai donc marché pour interroger cette première image que j’avais eu en surplomb de la ville.

De gauche à droite : un immeuble d’habitation, le clocher de la chapelle du lycée Ady Endre, le toit du Palais « Vulturul Negru », le clocher de la cathédrale orthodoxe « Adormirea Maicii Domnului », le théâtre Regina Maria, le clocher de l’église catholique romaine Sfântul Ladislau I, le clocher de la cathédrale gréco-catholique Sfântul Nicolae, la façade de la Mairie, les deux clochers du monastère « Premonstratense Maica Îndurerată », enfin, le beffroi de l’hôtel de ville.

Prolongeant la photo précédente sur la droite, l’horizon dévoile un immeuble de bureaux sur la rive du Criş, les deux clochers du temple réformé (Várad-Újvárosi református templom) et le clocher de l’église évangélique.

Le moins qu’on puisse dire est que l’offre religieuse est diverse à Oradea.

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