Janvier 1991, Calea Dorobanţilor. J’étais revenu de Bucarest où j’avais passé Noël et le réveillon. Notre hôte Constantin, instituteur, nous avait convié à visiter l’école où il travaillait. Il enseignait la langue roumaine.
En Roumanie, la voirie était partout en piteux état. Les réfections faites en été ne supportait pas le gel de l’hiver. Les voies étaient constellées de nids de poules. Y circuler était comme danser le tango.
Quand je recherche aujourd’hui sur Internet les endroits où j’ai peu faire mes photos, je suis ébahi par la quantité d’autos et la qualité de l’asphalte.
Mais qu’on ne s’y trompe pas… si les chaussées sont aujourd’hui rutilantes, ce n’est pas pour le confort des piétons, mais bien pour celui des conducteurs de berlines.
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