La Dâmbovița est l’une de ces rivières qui traversent Bucarest, s’étendent dans la plaine de Valachie avant de rejoindre le plus grand fleuve d’Europe, le Danube, puis la Mer Noire.

Nous sommes sur la digue du lac Morii, à l’Ouest de Bucarest, un matin de janvier 1991. J’étais sceptique sur le côté touristique du déplacement.

La Dâmbovița descend directement des monts Făgăraș, ces Alpes roumaines dans les Carpates. Certaines années, jadis, les crues de la rivière furent désastreuses.

C’est ici, au sortir du barrage du lac Morii que la Dâmbovița reprend son cours pour traverser Bucarest, sous la forme d’un canal où nulle péniche, nulle barque ne passent.

Le paysage était désolant. Il faisait gris et froid. Plus grand chose n’attirait le regard pour le porter vers le ciel.

En regardant cette image, je suis époustouflé par le soin qui avait été apporté au détails esthétiques des ponts et du mobilier urbain.

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