Budapest avait vécu la transition démocratique dans un calme relatif. Il faut dire que le pays déjà mis un pied à l’Ouest du mur.

Faite de larges boulevards, construite pour accueillir les parades impériales, la cité devint vite un paradis pour les voitures.

En arrivant de Roumanie, j’avais été frappé par la jeunesse des agents de circulation.
J’admirais même leur courage, pour stagner ainsi au milieu de carrefours inhospitaliers où les vieilles Trabant commençaient à croiser les grosses cylindrées occidentales.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *