A l’automne 1956, la ville de Budapest se révoltait contre le régime communiste qui lui avait été imposé par l’URSS.

Cette révolte populaire était en 1990 encore dans les mémoires occidentales.
En 1990, dans la ville, les murs des immeubles portaient encore la trace des impacts de balles des fusils et des mitrailleuses.

A Budapest, comme dans beaucoup de ville d’Europe de l’Est des carrés dans les cimetières sont réservés aux soldats soviétiques.
Ils furent en premier lieu des libérateurs face à la barbarie nazie. Par la suite, leur rôle s’inversa pour servir un régime tout autant oppressif.

Les anciennes « démocraties populaires » ont rapidement exclu de leurs villes les statues représentatives d’un régime qu’elles reniaient.
En revanche, les cimetières restent des lieux préservés, où il est possible de lire l’Histoire.

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