Faire des photos dans la rue en 1990 pouvait être jugé comme intrusif. Les Roumains à l’époque appréciaient moyennement être pris en photo. Il faut aussi préciser qu’ils avaient vécu dans un état de suspicion permanent.
De nombreuses activités dans l’espace public n’étaient pas toute légales non plus, comme ce petit commerce improvisé. Son initiateur s’était dirigé vers moi avec l’intention d’en découdre. Tant-pis pour lui. Le voici épinglé pour la postérité.